INSEE et Slate : un état du célibat en France
S'appuyant notamment sur une étude de l'INSEE " Des ménages toujours plus petits/ Projection de ménages pour la France métropolitaine à l’horizon 2030 /Alain Jacquot, division Logement, Insee", la sociologue Monique Dagnaud dresse un premier bilan sur les nouvelles générations et l'amour. Elle aborde également la disparité des diplômes entre homme et femme ainsi que la fameuse philosophie maintefois remise en cause par les psychologues/psychanalystes - à la suite de la littérature - mais très à la mode aujourd'hui du "couchons d'abord".
http://www.slate.fr/story/49557/FRANCE-generation-Y-sexe#retour2
Article INSEE :
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1106®_id=0
Si les jeunes générations ne semblent pas abandonner la quête de l'amour au profit du sexe, qu'en est-il des 30/50 ans ? Peu d'hommes semblent avouer ouvertement qu'ils aimeraient aimer et être aimé. Peut-être seraient-ils moins pudiques dans une véritable étude de type sociologique mais beaucoup d'hommes cachent sous leur soif sexuelle cette quête sentimentale...mais il ne faut surtout pas leur en parler. Pourquoi éprouvent-ils le besoin de se (le) cacher ? Baiser dans tous les coins serait valorisant mais avouer son besoin d'amour serait honteux ? Est-ce encore une manifestation identifiée comme féminine par ces hommes qui en se découvrant sentimentales ont peur d'être émasculés ou découverts comme sensibles et humains ?
Dans l'univers de D***, ce type d'homme semble tant répandu - les femmes le font aussi me dit-on - qu'il nous faut forcément prendre en compte cet aspect des choses. Mais sans se désavouer soi -même. Comment apprivoiser un mâle qui se cache à lui-même tout en gardant sa personnalité de femme douce et sentimentale mais pas docile ?